Qui veut s'inscrire au tournoi ?
Il y aura aussi un tournoi de tir à l'arc, une mêlée et un concours équestre...
Sachez que toute personne défaite en mêlée ou en joute doit payer rançon à son adversaire pour récupérer arme et cheval....
Et puis dites moi qui vient (famille, chevaliers, etc...), en sachant qu'une armée c'est hors de question, et que votre vassal Ohnheim se déplace avec vous.
Nous sommes les Fjordenson, une vieille famille du Nord, nos racines y sont implantées depuis l'Age des Héros, en nous cours le Sang des Premiers Hommes. Nous sommes les Fjordenson, et nous avons connu avanies et gloire. Nous avons toujours "tenu bon" face à l'adversité. Nous sommes les Fjordenson, et l'Eté revient : saurons nous renaître pour affronter le prochain Grand Hiver ?
mercredi 13 juin 2012
dimanche 10 juin 2012
Les affres de la paix
L'Ost royale se débandait. Le premier à se retirer fut Stannis Baratheon, qui fidèle à sa morgue leva l'ancre dès que possible, après avoir raidement informé le roi Robert que la présence de sa flotte n'étant plus nécessaire, il se retirait dans ses terres de Peyredragon.
Le seigneur de Castral Rock ne fut pas long à le suivre. Surtout que Tywuin Lannister devait préparer un tournoi de Port Lannis, le roi lui ayant signifié qu'on fêterait dans la magnificence la victoire.
Maintenant chacun désertait les côtes pillées des Greyjoy. Robert avait décrété dédaigneusement qu'il n'y avait pas de gibier pour satisfaire ses appétits royaux en matière de chasse. Certaines mauvaises langues ajoutaient que les putains de Port Réal lui manquaient terriblement.
Eddard Stark avait lui aussi lancé les préparatifs de départ : sa femme devait accoucher, si ce n'était déjà fait. Lui-même était père à cet instant précis. Grendel le lui avait avoué sur son lit de mort. Deux jumeaux l'attendaient chez lui, deux enfants des deux sexes, la tradition de la gémellité se perpétuant dans la famille Fjordenson. Eilene lui manquait tellement.
Mais il lui manquait un dernier devoir à honorer. Ulrick se retourna et vit que tout était prêt. Un billot sommaire avait été dressé. Mark Kenson s'y tenait, une hache lourde d'exécution en main. A ses côtés, Harald attendait, tête fière et levée. Son frère Caleigh discutait avec lui, à voix basse semble t'il...
"Avez vous des choses à confier avant de quitter cette terre ?"
Le ton de Caleigh se voulait rassurant. Il souriait au colosse qui attendait stoïquement l'arrivée de son bourreau, son propre frère. Il tourna la tête et le toisa froidement :
" Ce qui est mort ne saurait mourir, mais se lève à nouveau, plus dur à la peine et plus vigoureux."
C'était le mantra qu'il avait déjà mainte fois entendu ; les disciples du Dieu Noyé s'y accrochaient fermement et le répétait inlassablement avant de passer au gibet.
Il avait tenté d'approcher les prêtres et les disciples de cette étrange religion, mais tous lui avaient fermement et de manière méprisante signifié leur inintérêt.
Ulrick avait saisi la hache. Mark prit le bras du colosse qui s'en dégagea sans effort.
Il posa de lui-même sa tête sur le billot, et regarda Caleigh droit dans les yeux :
" Tout ce que j'ai fait, c'était pour mon roi et le couronne de Bois Flotté. Je n'ai pas à rougir de mes actions."
Puis il remt sa tête droite et attendit le coup fatal.
Horn regardait de loin la scène. Il supervisait avec Wülf l'embarquement de leurs troupes, et surtout du butin. La hache d'Ulrick décolla la tête du Fer Né de façon nette. Finnrod s'était recueilli devant le linceuil de son frère Grendel. Le gamin était déboussolé depuis la mort de ce dernier, et il n'avait pas eu l'autorisation de pénétrer dans son tente durant son agonie. C'était triste mais Horn devait maintenant s'occuper de sa pupille, vu que cette fichue guerre s'arrêtait. Il fallait construire l'avenir de cette famille, et puisqu'il avait marié l'aîné, garantir maintenant une union favorable à Caleigh, malgré les réticences de cette tête de mule. Il avait compris qu'il n'avait pas de penchant contre-nature, connaissant ses dépenses aux bordels qu'ils avaient croisé dans cette campagne. Mais il ne semblait pas pressé de vouloir prendre femme.
Septa Moira marchait le longe de la route d'or qui menait à Port Lannis. La matinée avait été belle. Des paysans lui avaient assuré le logis et le couvert la nuit dernière. Ces braves gens étaient heureux du retour de l'Eté et elle avait fort naturellement béni leur repas au nom de la Mère nourricière du foyer.
Chaque jour elle était plus heureuse de sa décision de quitter le confort du septuaire pour parcourir Westeros et écouter l'appel des Sept. Elle savait que quelque chose l'attendait. Là quelque part. Un jour elle aurait un signe.
Ce fut un râle d'agonie le long de la route qui l'arrêta. Elle découvrit un mestre, sa chaîne trahissait sa fonction, agonisant, une flèche plantée en pleine poitrine. Il sortit un rouleau de son manteau et lui donna. Il ne pouvait parler, des bulles de sang débordaient de ses lèvres.
Avec ses doigts il griffa la terre et commença à écrire maladroitement Port...
"Port Lannis ? Vous deviez aller à Port Lannis ?"
L'homme opina du chef et continua à écrire laborieusement : Caleigh Fjordenson.
"Vous deviez donner lui donner ce rouleau?"
L'homme opina une dernière fois avant de s'écrouler mort dans ses bras.
Septa Moira retroussa ses manches et entreprit de chercher une branche ou une pierre assez lourde pour l'aider à creuser une tombe pour ce pauvre homme. Il était peut être le signe du destin qu'elle attendait depuis si longtemps....
L'homme et la femme se jaugeaient depuis longtemps du regard.
La fenêtre était ouverte et laissait entrer l'air marin.
"Pourquoi ne pas avoir récupérer le rouleau ?" demanda la femme.
L'homme tressauta gêné et croisa nerveusement ses jambes.
"Ils ont été dérangé par une septa."
Cela lui semblait être une réponse suffisante. Visiblement pas pour son interlocutrice.
"Et ?"
"Ils n'ont pas voulu tuer une septa" répondit-il abruptement.
La femme agacée se leva et fit les cent pas.
Elle était belle. Elle l'était encore plus quand elle était furieuse pensa l'homme.
"Nos adversaires n'auront pas ce genre de délicatesse..." lâcha t'elle.
"Vous les connaissez donc tant que ça ?"
le regard qu'elle lui lança le renseigna largement. Trop de haine en elle. Elle pouvait l'aveugler. Il faudrait la surveiller.
Il se demandait encore une fois ce que ce rouleau pouvait donc contenir de si précieux...
Le seigneur de Castral Rock ne fut pas long à le suivre. Surtout que Tywuin Lannister devait préparer un tournoi de Port Lannis, le roi lui ayant signifié qu'on fêterait dans la magnificence la victoire.
Maintenant chacun désertait les côtes pillées des Greyjoy. Robert avait décrété dédaigneusement qu'il n'y avait pas de gibier pour satisfaire ses appétits royaux en matière de chasse. Certaines mauvaises langues ajoutaient que les putains de Port Réal lui manquaient terriblement.
Eddard Stark avait lui aussi lancé les préparatifs de départ : sa femme devait accoucher, si ce n'était déjà fait. Lui-même était père à cet instant précis. Grendel le lui avait avoué sur son lit de mort. Deux jumeaux l'attendaient chez lui, deux enfants des deux sexes, la tradition de la gémellité se perpétuant dans la famille Fjordenson. Eilene lui manquait tellement.
Mais il lui manquait un dernier devoir à honorer. Ulrick se retourna et vit que tout était prêt. Un billot sommaire avait été dressé. Mark Kenson s'y tenait, une hache lourde d'exécution en main. A ses côtés, Harald attendait, tête fière et levée. Son frère Caleigh discutait avec lui, à voix basse semble t'il...
"Avez vous des choses à confier avant de quitter cette terre ?"
Le ton de Caleigh se voulait rassurant. Il souriait au colosse qui attendait stoïquement l'arrivée de son bourreau, son propre frère. Il tourna la tête et le toisa froidement :
" Ce qui est mort ne saurait mourir, mais se lève à nouveau, plus dur à la peine et plus vigoureux."
C'était le mantra qu'il avait déjà mainte fois entendu ; les disciples du Dieu Noyé s'y accrochaient fermement et le répétait inlassablement avant de passer au gibet.
Il avait tenté d'approcher les prêtres et les disciples de cette étrange religion, mais tous lui avaient fermement et de manière méprisante signifié leur inintérêt.
Ulrick avait saisi la hache. Mark prit le bras du colosse qui s'en dégagea sans effort.
Il posa de lui-même sa tête sur le billot, et regarda Caleigh droit dans les yeux :
" Tout ce que j'ai fait, c'était pour mon roi et le couronne de Bois Flotté. Je n'ai pas à rougir de mes actions."
Puis il remt sa tête droite et attendit le coup fatal.
Horn regardait de loin la scène. Il supervisait avec Wülf l'embarquement de leurs troupes, et surtout du butin. La hache d'Ulrick décolla la tête du Fer Né de façon nette. Finnrod s'était recueilli devant le linceuil de son frère Grendel. Le gamin était déboussolé depuis la mort de ce dernier, et il n'avait pas eu l'autorisation de pénétrer dans son tente durant son agonie. C'était triste mais Horn devait maintenant s'occuper de sa pupille, vu que cette fichue guerre s'arrêtait. Il fallait construire l'avenir de cette famille, et puisqu'il avait marié l'aîné, garantir maintenant une union favorable à Caleigh, malgré les réticences de cette tête de mule. Il avait compris qu'il n'avait pas de penchant contre-nature, connaissant ses dépenses aux bordels qu'ils avaient croisé dans cette campagne. Mais il ne semblait pas pressé de vouloir prendre femme.
Septa Moira marchait le longe de la route d'or qui menait à Port Lannis. La matinée avait été belle. Des paysans lui avaient assuré le logis et le couvert la nuit dernière. Ces braves gens étaient heureux du retour de l'Eté et elle avait fort naturellement béni leur repas au nom de la Mère nourricière du foyer.
Chaque jour elle était plus heureuse de sa décision de quitter le confort du septuaire pour parcourir Westeros et écouter l'appel des Sept. Elle savait que quelque chose l'attendait. Là quelque part. Un jour elle aurait un signe.
Ce fut un râle d'agonie le long de la route qui l'arrêta. Elle découvrit un mestre, sa chaîne trahissait sa fonction, agonisant, une flèche plantée en pleine poitrine. Il sortit un rouleau de son manteau et lui donna. Il ne pouvait parler, des bulles de sang débordaient de ses lèvres.
Avec ses doigts il griffa la terre et commença à écrire maladroitement Port...
"Port Lannis ? Vous deviez aller à Port Lannis ?"
L'homme opina du chef et continua à écrire laborieusement : Caleigh Fjordenson.
"Vous deviez donner lui donner ce rouleau?"
L'homme opina une dernière fois avant de s'écrouler mort dans ses bras.
Septa Moira retroussa ses manches et entreprit de chercher une branche ou une pierre assez lourde pour l'aider à creuser une tombe pour ce pauvre homme. Il était peut être le signe du destin qu'elle attendait depuis si longtemps....
L'homme et la femme se jaugeaient depuis longtemps du regard.
La fenêtre était ouverte et laissait entrer l'air marin.
"Pourquoi ne pas avoir récupérer le rouleau ?" demanda la femme.
L'homme tressauta gêné et croisa nerveusement ses jambes.
"Ils ont été dérangé par une septa."
Cela lui semblait être une réponse suffisante. Visiblement pas pour son interlocutrice.
"Et ?"
"Ils n'ont pas voulu tuer une septa" répondit-il abruptement.
La femme agacée se leva et fit les cent pas.
Elle était belle. Elle l'était encore plus quand elle était furieuse pensa l'homme.
"Nos adversaires n'auront pas ce genre de délicatesse..." lâcha t'elle.
"Vous les connaissez donc tant que ça ?"
le regard qu'elle lui lança le renseigna largement. Trop de haine en elle. Elle pouvait l'aveugler. Il faudrait la surveiller.
Il se demandait encore une fois ce que ce rouleau pouvait donc contenir de si précieux...
dimanche 4 mars 2012
Fiches à Télécharger
Nouvel essai !
On va voir si cela marche mieux ainsi...
Vos fiches à télécharger
Albrecht Ohnheim
(tu devras Alex' me donner tes nouveaux défauts, vu que t'as passé un cap d'âge...)
Ser Horn
Wulf Snow
Ser Mark
Lord Ulrick Fjordenson
Finnrod
Ser Caleigh
On va voir si cela marche mieux ainsi...
Vos fiches à télécharger
Albrecht Ohnheim
(tu devras Alex' me donner tes nouveaux défauts, vu que t'as passé un cap d'âge...)
Ser Horn
Wulf Snow
Ser Mark
Lord Ulrick Fjordenson
Finnrod
Ser Caleigh
lundi 23 janvier 2012
Horn écroule-murailles
Histoire de la Bataille de Pyk racontée a mon petit neveux par Horn écroule muraille.
Tu
ne le sais peut être pas mon petit mais la première grande guerre
auquelle participa ton père, fut celle contre la rébellion de Lord Balon
Greyjoy. Il gouvernait alors les îles de fer en occupant le trône de grès.
Mais
tout a commencé en l'an 289 alors que commençais un nouvelle été, nous
nous rendions toute la famille et moi. c'est a dire ton grand père, mon
frère, ton père et ton oncle et bien d'autre de nos serviteurs, à la
grand foire de Moat Callin. Les perspectives étaient bonne, l'été
revenant, les gens allais avoir besoin de plus de savon, et tu sais
comment ton père est dépensier. Je t'ai déjà raconté comment j'ai
réussi a le marier à ta mère, et quel bonheur se fut, une femme si
efficace, pour géré sa bourse. Mais tu as raison je m'égare.
Donc nous voilà à Moat Callin, avec les affaire qui battaient leurs pleins. et voilà t'y pas que ce stupide Greyjoy
gâche tout en déclenchant sa stupide rébellion. Tu me connais mon sang
n'a fait qu'un tour. Nous faire perdre, à nous une si bonne opportunité
de recette, alors que nous somme si juste. enfin bref, voilà que comme à
son habitude ton grand père ce lance dans la guerre et ton père le suit
bien sur ils ont le même esprit, ils foncent et réfléchissent ensuite, ils
veulent bien sur équiper notre armée de neuf.. Que de dépense pour voir
tous nos hommes sous les ordres de Ser Mark tombés face a une armée bien
mieux dirigée que la notre, mais pour cette bataille je laisse ton père
ou ton oncle te la narrer.
Ce
que je voulais surtout que tu saches c'est comment m'est venu ce surnom
de tombe muraille. Le Roi Robert I nous avais embarqué pour prendre
l'île de Pyk. et il avait laissé au Lannister,
le soin de venger la tâche du sac de Port Lannis, en leur permettant
de débarquer les premiers et de prendre toute la gloire et les richesse de
Lordsport. Moi tu me connais je ne voyais que les intérêts de la
famille et je préconisais de trouver un moyen de débarquer à revers pour
ne pas être en reste d'un bon pillage, pour renflouer nos caisses bien
vide.
Bien
sur Ser Mark trouvais cela pas guerrier, mais nous trouvions un terrain
d'entente, en prévoyant de débarquer avec une centaine d'homme sur une
plage des plus dangereuse où les flots déchaînés nous jetaient sur des roches aux angles
aiguës coupant comme des rasoirs. J'entraînais dans cette aventure Ser
Mark ton père et ton Oncle pourtant tout trois réticent par peur du
danger. Si nous perdions de nombreux hommes, moins fort que ton pauvre
grand oncle dans l'escalade de la falaise, nous arrivions une petite
soixantaine sur le haut de cette petite montagne maritime aux parois
abruptes et glissantes. Malgré nos corps gelés jusqu'aux os par le froid et
la pluie. Il nous fallut encore courir sur de nombreuses lieues et j'ai
du presque porter ton père qui était épuisé de sa montée. Après que
j'ai estimé les défenses de la tour que nous devions prendre d'assaut,
je décidais au vu de l'épuisement de mes compagnons d'attendre la nuit
pour passer a l'offensive. Pour flatter la susceptibilité de Ser
Mark je le laissais prendre en apparence la direction des opérations,
qui consistait à grimper discrètement le long de la muraille, d'éliminer
les garde et d'ouvrir les porte. En réalité je dirigeai tout du bas de
la tour, et bien heureusement car Ser Mark eu la discrétion d'un taureau
mugissant et je faisais abattre les uns après les autres les gardes ennemis qui
venaient voir qui pouvais faire autant de bruits. Enfin arrivé sur le
chemin de ronde ser Mark et ton père eurent affaire à un fort partie et je
ne pouvais plus rien faire pour les soutenir, car après le vacarme qu'ils
avait fait toute la garnison était en alerte. Mais il faut reconnaître
du courage a ce noble Ser Mark, qui embrocha sous sa lance la moitié de
la garnison, une bonne partie étant pris sous les tirs croisés de ton
père et son arc. Après la prise victorieuse de ce castel nous attendimes
bien une semaine l'arrivée des Lannisters. Ce fut une dure semaine car
nous devions résister aux attaques incessantes des Greyjoys. Mais grâce
a mon ingéniosité et à la bravoure de ton père et des gens du Nord,
nous tenions bon. Il faut te dire que nous fûmes grandement félicité
pour cet acte de gloire, même par Gregor
Clegane, dit « la Montagne » qui me chargea du reste de démonter les
charpentes du châteaux pour en faire des armes de siège, car dans leur
précipitation et leur furie les Lannisters avaient tout brûlé.
L'ost
de Robert I continua donc son chemin, après avoir bien sur remercié
notre famille pour tout le temps et l'énergie que nous lui avions fait
gagner.
Mais le plus dur était encore a venir, car prendre le château de Lord Balon Greyjoy
ne fut pas simple et sans mon courage, ma détermination et mon
intelligence, les morts de cette terrible bataille eurent été encore plus
nombreux.
Il faut dire que le
château se dresse sur une côte déchiquetée et dépourvue de mouillage,
avec laquelle il ne semble faire qu'un. Les pierres qui le constituent
sont du même noir que les falaises, humide à cause des embruns et
parsemé de lichen vert sombre et de fientes d'oiseaux de mer. Il est
bâti sur un ancien cap, brisé depuis par les assauts des vagues, dont il
ne reste que trois îles et une quinzaine d'îlots rocheux en forme de
pique. Lord Eddard Stark me chargea de faire tomber la tour de la
dernière section au sud de la première enceinte. Elle
était dotée de six tours carrées encadrant la poterne principale, sur
l'à pic du cap donnant sur cinquante arpents abritant écuries, chenils,
parcs à moutons et pourceaux, et dépendances, et qui protège un grand
pont de pierre le reliant à la première et la plus vaste des trois îles.
Je
me mis aussitôt au travail avec tout une équipe de sapeur et de soldat.
Mais je doit avouer que je négligeai trop la sécurité et la galerie qui
nous abritait ne résista pas à une attaque traîtresse a l'huile
bouillante. Mais je reprit les travaux la semaine suivante, fort de
l'expérience acquise. la tactique fut la pratique de la sape, des
tunnels étaient creusés sous le mur pour affaiblir sa fondation et le
faire tomber. et c'est ce qui arriva, a la fin de la deuxième semaine
seulement. Le chef des homme qui assurait la sécurité de ma galerie était
Jorah Mormont de l'île aux Ours, un homme du nord, vaillant et déterminé
comme nous le somme nous aussi. Aussitôt la tour et une bonne partie de
la muraille écroulée nous nous portions tous deux face a l'ennemi, afin
de ne pas lui permettre de prendre pied sur la brèche faite a leur
défense. nous devions tenir bon, coûte que coûte le temps que l'armée du
nord vienne déborder les fer-nés. Mais nous étions à cent contre un et
encore la plupart de mes homme étaient des sapeurs, pas des guerriers
expérimentés comme nous l'étions Jorah Mormont et moi. Autour de nous les
hommes tombaient comme blé sous la faux, l'on ne vit rapidement même plus
la muraille sous le sang et les cadavres amoncelés. nous nous tenions
coude a coude pour de pas frapper un ami plutôt qu'un fer-né, car notre
vision était brouillée par le sang, je scandais le plus possible notre
devise pour encourager les hommes Tien Bon TIen BOn ; TIEN BON, Ti....
quand je me rendis compte qu'il ne restait plus que Jorah, moi, les
fer-nés et la Mort. c'est là qu'enfin les renforts balayèrent comme une
vague les quelque malheureux bougres de fer-né encore en vie.
Je m'assis là sur une pierre rouge du fer et du sang, la satisfaction du
devoir accompli quand Ser Jaime arriva dans son armure d'or
et sa cape blanche, je lui dit "Le mur est a vous Ser, nous avons tenus
bon", il me répondis "bon travail, tenez le pour moi je poursuit les
autres". c'est seulement là que je découvris qu'une flèche m'avait
traversé le corps.
Après
la bataille Jorah Mormont fut fait chevalier par le roi Robert et moi
il me dit "vous êtes tous comme cela dans la baie au phoque ? Indémontable ? Ser Horn brise muraille "
Et ceux qui disent que ça c'est pas passé comme ça sont des sacrés menteurs.
lundi 16 janvier 2012
Gloire !
Vous avez donc trois points de Gloire à répartir parmi les patrimoines de la Maison...
N'oubliez pas que vous avez déjà gagné 10 points en Défense et 5 en Puissance.
N'oubliez pas que vous avez déjà gagné 10 points en Défense et 5 en Puissance.
La mort de Grendel
Une fois rendu maître des mers, la coalition royale décide de se séparer en deux pour frapper au coeur des Greyjoy
Ser Barristan Selmy mène l’assaut contre le Vieux Wyk, tandis que le roi Robert et lord Eddard débarquent à Pyk, ou plus précisément les Lannister débarquent à Lordsport.
Les Fjordenson proposent eux de débarquer avec une petite troupe de volontaires pour prendre par derrière une bastide essentielle pour le ravitaillement de Lordsport. Après avoir grimpé au petit jour une falaise abrupte, et avancé à marche forcé jusqu'à la place forte, ils escaladent les murs et en deviennent les maîtres.
Une semaine après ils voient débarquer l'avant garde Lannister conduite par Ser Gregor la Montagne, qui leur annonce que les Greyjoy pratiquent la politique de la terre brûlée, et qu'il laisse des troupes du génie pour démanteler la bastide et l'utiliser pour construire des armes de siège.
Car la forteresse du Pyk est redoutable et formidablement protégé. Horn mène une troupe de sapeurs qui va creuser inlassablement pendant deux semaines, revenant une fois brûlé, pour finir par effondrer la tour sud. Alors qu'il mène un combat désespéré pour tenir la brèche, épaulé par un jeune écuyer, Jorah Mormont, Thoros de Myr galvanise les troupes du Nord et fonce vers la brèche, enflammant son épée.
Au milieu de la poussière, des décombres et du sang, les combattants luttent comme des possédés. Jusqu'à ce qu'une clameur retentisse sur le champ de bataille. Maron Greyjoy, le seconde fils de Balon, vient de mourir et ses troupes se retirent vers la première bastide, laissant le mur à l'Ost du Nord.
Les Lannister s'engouffrent dans la brèche et Ser Jaime prend les commandes des opérations, montant un bélier de fortune pour fracturer la massive porte d'entrée. Les combattants s'égaillent et différents duels s'engagent. Ser Mark et Ser Caleigh ont bien du mal à se défaire d'Horwald, le commandant de la bastide.
Grendel bouscule Ulrick et s'écroule, le corps transpercé des deux carreaux d'arbalète qui lui étaient destinés. Alors que les Fjordenson se rassemblent autour du patriarche gravement blessé, la rumeur de la victoire enfle : Balon Greyjoy se rend sans conditions.
Au soir, Grendel Fjordenson mourant tient à parler avec ses fils, son frère et son maître d'armes. Lord Eddard Stark arrive malheureusement trop tard. Il déclare alors solonellement Ulrick seigneur Fjordenson et lui offre des terres en récompense de la bravoure de sa famille. Alors qu'Ulrick se relève, toute la famille menée par Horn clame la devise de la famille, Tiens bon !
Ser Barristan Selmy mène l’assaut contre le Vieux Wyk, tandis que le roi Robert et lord Eddard débarquent à Pyk, ou plus précisément les Lannister débarquent à Lordsport.
Les Fjordenson proposent eux de débarquer avec une petite troupe de volontaires pour prendre par derrière une bastide essentielle pour le ravitaillement de Lordsport. Après avoir grimpé au petit jour une falaise abrupte, et avancé à marche forcé jusqu'à la place forte, ils escaladent les murs et en deviennent les maîtres.
Une semaine après ils voient débarquer l'avant garde Lannister conduite par Ser Gregor la Montagne, qui leur annonce que les Greyjoy pratiquent la politique de la terre brûlée, et qu'il laisse des troupes du génie pour démanteler la bastide et l'utiliser pour construire des armes de siège.
Car la forteresse du Pyk est redoutable et formidablement protégé. Horn mène une troupe de sapeurs qui va creuser inlassablement pendant deux semaines, revenant une fois brûlé, pour finir par effondrer la tour sud. Alors qu'il mène un combat désespéré pour tenir la brèche, épaulé par un jeune écuyer, Jorah Mormont, Thoros de Myr galvanise les troupes du Nord et fonce vers la brèche, enflammant son épée.
Au milieu de la poussière, des décombres et du sang, les combattants luttent comme des possédés. Jusqu'à ce qu'une clameur retentisse sur le champ de bataille. Maron Greyjoy, le seconde fils de Balon, vient de mourir et ses troupes se retirent vers la première bastide, laissant le mur à l'Ost du Nord.
Les Lannister s'engouffrent dans la brèche et Ser Jaime prend les commandes des opérations, montant un bélier de fortune pour fracturer la massive porte d'entrée. Les combattants s'égaillent et différents duels s'engagent. Ser Mark et Ser Caleigh ont bien du mal à se défaire d'Horwald, le commandant de la bastide.
Grendel bouscule Ulrick et s'écroule, le corps transpercé des deux carreaux d'arbalète qui lui étaient destinés. Alors que les Fjordenson se rassemblent autour du patriarche gravement blessé, la rumeur de la victoire enfle : Balon Greyjoy se rend sans conditions.
Au soir, Grendel Fjordenson mourant tient à parler avec ses fils, son frère et son maître d'armes. Lord Eddard Stark arrive malheureusement trop tard. Il déclare alors solonellement Ulrick seigneur Fjordenson et lui offre des terres en récompense de la bravoure de sa famille. Alors qu'Ulrick se relève, toute la famille menée par Horn clame la devise de la famille, Tiens bon !
lundi 14 novembre 2011
Gloire !
Grendel Fjordenson investit les 4 points de Gloire gagnés dans la campagne de Salvemer dans la Ressource de Population de votre domaine.
Pourquoi ?
1°) C'est l'une des plus basses de votre Maison, si ce n'est d'ailleurs la plus basse.
2°) Pour obtenir de nouvelles troupes, il faut convertir de la Population en Puissance.
3°) Cela va se répercuter sur votre vassal qui en a bien besoin !
Pourquoi ?
1°) C'est l'une des plus basses de votre Maison, si ce n'est d'ailleurs la plus basse.
2°) Pour obtenir de nouvelles troupes, il faut convertir de la Population en Puissance.
3°) Cela va se répercuter sur votre vassal qui en a bien besoin !
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