Histoire de la Bataille de Pyk racontée a mon petit neveux par Horn écroule muraille.
Tu
ne le sais peut être pas mon petit mais la première grande guerre
auquelle participa ton père, fut celle contre la rébellion de Lord Balon
Greyjoy. Il gouvernait alors les îles de fer en occupant le trône de grès.
Mais
tout a commencé en l'an 289 alors que commençais un nouvelle été, nous
nous rendions toute la famille et moi. c'est a dire ton grand père, mon
frère, ton père et ton oncle et bien d'autre de nos serviteurs, à la
grand foire de Moat Callin. Les perspectives étaient bonne, l'été
revenant, les gens allais avoir besoin de plus de savon, et tu sais
comment ton père est dépensier. Je t'ai déjà raconté comment j'ai
réussi a le marier à ta mère, et quel bonheur se fut, une femme si
efficace, pour géré sa bourse. Mais tu as raison je m'égare.
Donc nous voilà à Moat Callin, avec les affaire qui battaient leurs pleins. et voilà t'y pas que ce stupide Greyjoy
gâche tout en déclenchant sa stupide rébellion. Tu me connais mon sang
n'a fait qu'un tour. Nous faire perdre, à nous une si bonne opportunité
de recette, alors que nous somme si juste. enfin bref, voilà que comme à
son habitude ton grand père ce lance dans la guerre et ton père le suit
bien sur ils ont le même esprit, ils foncent et réfléchissent ensuite, ils
veulent bien sur équiper notre armée de neuf.. Que de dépense pour voir
tous nos hommes sous les ordres de Ser Mark tombés face a une armée bien
mieux dirigée que la notre, mais pour cette bataille je laisse ton père
ou ton oncle te la narrer.
Ce
que je voulais surtout que tu saches c'est comment m'est venu ce surnom
de tombe muraille. Le Roi Robert I nous avais embarqué pour prendre
l'île de Pyk. et il avait laissé au Lannister,
le soin de venger la tâche du sac de Port Lannis, en leur permettant
de débarquer les premiers et de prendre toute la gloire et les richesse de
Lordsport. Moi tu me connais je ne voyais que les intérêts de la
famille et je préconisais de trouver un moyen de débarquer à revers pour
ne pas être en reste d'un bon pillage, pour renflouer nos caisses bien
vide.
Bien
sur Ser Mark trouvais cela pas guerrier, mais nous trouvions un terrain
d'entente, en prévoyant de débarquer avec une centaine d'homme sur une
plage des plus dangereuse où les flots déchaînés nous jetaient sur des roches aux angles
aiguës coupant comme des rasoirs. J'entraînais dans cette aventure Ser
Mark ton père et ton Oncle pourtant tout trois réticent par peur du
danger. Si nous perdions de nombreux hommes, moins fort que ton pauvre
grand oncle dans l'escalade de la falaise, nous arrivions une petite
soixantaine sur le haut de cette petite montagne maritime aux parois
abruptes et glissantes. Malgré nos corps gelés jusqu'aux os par le froid et
la pluie. Il nous fallut encore courir sur de nombreuses lieues et j'ai
du presque porter ton père qui était épuisé de sa montée. Après que
j'ai estimé les défenses de la tour que nous devions prendre d'assaut,
je décidais au vu de l'épuisement de mes compagnons d'attendre la nuit
pour passer a l'offensive. Pour flatter la susceptibilité de Ser
Mark je le laissais prendre en apparence la direction des opérations,
qui consistait à grimper discrètement le long de la muraille, d'éliminer
les garde et d'ouvrir les porte. En réalité je dirigeai tout du bas de
la tour, et bien heureusement car Ser Mark eu la discrétion d'un taureau
mugissant et je faisais abattre les uns après les autres les gardes ennemis qui
venaient voir qui pouvais faire autant de bruits. Enfin arrivé sur le
chemin de ronde ser Mark et ton père eurent affaire à un fort partie et je
ne pouvais plus rien faire pour les soutenir, car après le vacarme qu'ils
avait fait toute la garnison était en alerte. Mais il faut reconnaître
du courage a ce noble Ser Mark, qui embrocha sous sa lance la moitié de
la garnison, une bonne partie étant pris sous les tirs croisés de ton
père et son arc. Après la prise victorieuse de ce castel nous attendimes
bien une semaine l'arrivée des Lannisters. Ce fut une dure semaine car
nous devions résister aux attaques incessantes des Greyjoys. Mais grâce
a mon ingéniosité et à la bravoure de ton père et des gens du Nord,
nous tenions bon. Il faut te dire que nous fûmes grandement félicité
pour cet acte de gloire, même par Gregor
Clegane, dit « la Montagne » qui me chargea du reste de démonter les
charpentes du châteaux pour en faire des armes de siège, car dans leur
précipitation et leur furie les Lannisters avaient tout brûlé.
L'ost
de Robert I continua donc son chemin, après avoir bien sur remercié
notre famille pour tout le temps et l'énergie que nous lui avions fait
gagner.
Mais le plus dur était encore a venir, car prendre le château de Lord Balon Greyjoy
ne fut pas simple et sans mon courage, ma détermination et mon
intelligence, les morts de cette terrible bataille eurent été encore plus
nombreux.
Il faut dire que le
château se dresse sur une côte déchiquetée et dépourvue de mouillage,
avec laquelle il ne semble faire qu'un. Les pierres qui le constituent
sont du même noir que les falaises, humide à cause des embruns et
parsemé de lichen vert sombre et de fientes d'oiseaux de mer. Il est
bâti sur un ancien cap, brisé depuis par les assauts des vagues, dont il
ne reste que trois îles et une quinzaine d'îlots rocheux en forme de
pique. Lord Eddard Stark me chargea de faire tomber la tour de la
dernière section au sud de la première enceinte. Elle
était dotée de six tours carrées encadrant la poterne principale, sur
l'à pic du cap donnant sur cinquante arpents abritant écuries, chenils,
parcs à moutons et pourceaux, et dépendances, et qui protège un grand
pont de pierre le reliant à la première et la plus vaste des trois îles.
Je
me mis aussitôt au travail avec tout une équipe de sapeur et de soldat.
Mais je doit avouer que je négligeai trop la sécurité et la galerie qui
nous abritait ne résista pas à une attaque traîtresse a l'huile
bouillante. Mais je reprit les travaux la semaine suivante, fort de
l'expérience acquise. la tactique fut la pratique de la sape, des
tunnels étaient creusés sous le mur pour affaiblir sa fondation et le
faire tomber. et c'est ce qui arriva, a la fin de la deuxième semaine
seulement. Le chef des homme qui assurait la sécurité de ma galerie était
Jorah Mormont de l'île aux Ours, un homme du nord, vaillant et déterminé
comme nous le somme nous aussi. Aussitôt la tour et une bonne partie de
la muraille écroulée nous nous portions tous deux face a l'ennemi, afin
de ne pas lui permettre de prendre pied sur la brèche faite a leur
défense. nous devions tenir bon, coûte que coûte le temps que l'armée du
nord vienne déborder les fer-nés. Mais nous étions à cent contre un et
encore la plupart de mes homme étaient des sapeurs, pas des guerriers
expérimentés comme nous l'étions Jorah Mormont et moi. Autour de nous les
hommes tombaient comme blé sous la faux, l'on ne vit rapidement même plus
la muraille sous le sang et les cadavres amoncelés. nous nous tenions
coude a coude pour de pas frapper un ami plutôt qu'un fer-né, car notre
vision était brouillée par le sang, je scandais le plus possible notre
devise pour encourager les hommes Tien Bon TIen BOn ; TIEN BON, Ti....
quand je me rendis compte qu'il ne restait plus que Jorah, moi, les
fer-nés et la Mort. c'est là qu'enfin les renforts balayèrent comme une
vague les quelque malheureux bougres de fer-né encore en vie.
Je m'assis là sur une pierre rouge du fer et du sang, la satisfaction du
devoir accompli quand Ser Jaime arriva dans son armure d'or
et sa cape blanche, je lui dit "Le mur est a vous Ser, nous avons tenus
bon", il me répondis "bon travail, tenez le pour moi je poursuit les
autres". c'est seulement là que je découvris qu'une flèche m'avait
traversé le corps.
Après
la bataille Jorah Mormont fut fait chevalier par le roi Robert et moi
il me dit "vous êtes tous comme cela dans la baie au phoque ? Indémontable ? Ser Horn brise muraille "
Et ceux qui disent que ça c'est pas passé comme ça sont des sacrés menteurs.