lundi 23 janvier 2012

Horn écroule-murailles

Histoire de la Bataille de Pyk racontée a mon petit neveux par Horn écroule muraille.

Tu ne le sais peut être pas mon petit mais la première grande guerre auquelle participa ton père, fut celle contre la rébellion de Lord Balon Greyjoy. Il gouvernait alors les îles de fer en occupant le trône de grès.
Mais tout a commencé en l'an 289 alors que commençais un nouvelle été, nous nous rendions toute la famille et moi. c'est a dire ton grand père, mon frère, ton père et ton oncle et bien d'autre de nos serviteurs, à la grand foire de Moat Callin. Les perspectives étaient bonne, l'été revenant, les gens allais avoir besoin de plus de savon, et tu sais comment ton père est dépensier. Je t'ai déjà raconté comment j'ai réussi a le marier à ta mère, et quel bonheur se fut, une femme si efficace, pour géré sa bourse. Mais tu as raison je m'égare.
Donc nous voilà à Moat Callin, avec les affaire qui battaient leurs pleins. et voilà t'y pas que ce stupide Greyjoy gâche tout en déclenchant sa stupide rébellion. Tu me connais mon sang n'a fait qu'un tour. Nous faire perdre, à nous une si bonne opportunité de recette, alors que nous somme si juste.  enfin bref, voilà que comme à son habitude ton grand père ce lance dans la guerre et ton père le suit bien sur ils ont le même esprit, ils foncent et réfléchissent ensuite, ils veulent bien sur équiper notre armée de neuf.. Que de dépense pour voir tous nos hommes sous les ordres de Ser Mark tombés face a une armée bien mieux dirigée que la notre, mais pour cette bataille je laisse ton père ou ton oncle te la narrer.
Ce que je voulais surtout que tu saches c'est comment m'est venu ce surnom de tombe muraille. Le Roi Robert I nous avais embarqué pour prendre l'île de Pyk. et il avait laissé au Lannister, le soin de venger la tâche du sac de Port Lannis, en leur permettant de débarquer les premiers et de prendre toute la gloire et les richesse de Lordsport. Moi tu me connais je ne voyais que les intérêts de la famille et je préconisais de trouver un moyen de débarquer à revers pour ne pas être en reste d'un bon pillage, pour renflouer nos caisses bien vide.
Bien sur Ser Mark trouvais cela pas guerrier, mais nous trouvions un terrain d'entente, en prévoyant de débarquer avec une centaine d'homme sur une plage des plus dangereuse où les flots déchaînés nous jetaient  sur des roches aux angles aiguës coupant comme des rasoirs. J'entraînais dans cette aventure Ser Mark ton père et ton Oncle pourtant tout trois réticent par peur du danger. Si nous perdions de nombreux hommes, moins fort que ton pauvre grand oncle dans l'escalade de la falaise, nous arrivions une petite soixantaine sur le haut de cette petite montagne maritime aux parois abruptes et glissantes. Malgré nos corps gelés jusqu'aux os par le froid et la pluie. Il nous fallut encore courir sur de nombreuses lieues et j'ai du presque porter ton père qui était épuisé de sa montée. Après que j'ai estimé les défenses de la tour que nous devions prendre d'assaut, je décidais au vu de l'épuisement de mes compagnons d'attendre la nuit pour passer a l'offensive. Pour flatter la susceptibilité de Ser Mark je le laissais prendre en apparence la direction des opérations, qui consistait à grimper discrètement le long de la muraille, d'éliminer les garde et d'ouvrir les porte. En réalité je dirigeai tout du bas de la tour, et bien heureusement car Ser Mark eu la discrétion d'un taureau mugissant et je faisais abattre les uns après les autres les gardes ennemis qui venaient voir qui pouvais faire autant de bruits. Enfin arrivé sur le chemin de ronde ser Mark et ton père eurent affaire à un fort partie et je ne pouvais plus rien faire pour les soutenir, car après le vacarme qu'ils avait fait toute la garnison était en alerte. Mais il faut reconnaître du courage a ce noble Ser Mark, qui embrocha sous sa lance la moitié de la garnison, une bonne partie étant pris sous les tirs croisés de ton père et son arc. Après la prise victorieuse de ce castel nous attendimes bien une semaine l'arrivée des Lannisters. Ce fut une dure semaine car nous devions résister aux attaques incessantes des Greyjoys. Mais grâce a mon ingéniosité et à la bravoure de ton père et des gens du Nord, nous tenions bon. Il faut te dire que nous fûmes grandement félicité pour cet acte de gloire, même par Gregor Clegane, dit « la Montagne » qui me chargea du reste de démonter les charpentes du châteaux pour en faire des armes de siège, car dans leur précipitation et leur furie les Lannisters avaient tout brûlé.
L'ost de Robert I continua donc son chemin, après avoir bien sur remercié notre famille pour tout le temps et l'énergie que nous lui avions fait gagner.
Mais le plus dur était encore a venir, car prendre le château de Lord Balon Greyjoy ne fut pas simple et sans mon courage, ma détermination et mon intelligence, les morts de cette terrible bataille eurent été encore plus nombreux.
Il faut dire  que le château se dresse sur une côte déchiquetée et dépourvue de mouillage, avec laquelle il ne semble faire qu'un. Les pierres qui le constituent sont du même noir que les falaises, humide à cause des embruns et parsemé de lichen vert sombre et de fientes d'oiseaux de mer. Il est bâti sur un ancien cap, brisé depuis par les assauts des vagues, dont il ne reste que trois îles et une quinzaine d'îlots rocheux en forme de pique. Lord Eddard Stark me chargea de faire tomber la tour de la dernière section au sud de la première enceinte. Elle était dotée de six tours carrées encadrant la poterne principale, sur l'à pic du cap donnant sur cinquante arpents abritant écuries, chenils, parcs à moutons et pourceaux, et dépendances, et qui protège un grand pont de pierre le reliant à la première et la plus vaste des trois îles.
Je me mis aussitôt au travail avec tout une équipe de sapeur et de soldat. Mais je doit avouer que je négligeai trop la sécurité et la galerie qui nous abritait ne résista pas à une attaque traîtresse a l'huile bouillante. Mais je reprit les travaux la semaine suivante, fort de l'expérience acquise. la tactique fut la pratique de la sape, des tunnels étaient creusés sous le mur pour affaiblir sa fondation et le faire tomber. et c'est ce qui arriva, a la fin de la deuxième semaine seulement. Le chef des homme qui assurait la sécurité de ma galerie était Jorah Mormont de l'île aux Ours, un homme du nord, vaillant et déterminé comme nous le somme nous aussi. Aussitôt la tour et une bonne partie de la muraille écroulée nous nous portions tous deux face a l'ennemi, afin de ne pas lui permettre de prendre pied sur la brèche faite a leur défense. nous devions tenir bon, coûte que coûte le temps que l'armée du nord vienne déborder les fer-nés. Mais nous étions à cent contre un et encore la plupart de mes homme étaient des sapeurs, pas des guerriers expérimentés comme nous l'étions Jorah Mormont et moi. Autour de nous les hommes tombaient comme blé sous la faux, l'on ne vit rapidement même plus la muraille sous le sang et les cadavres amoncelés. nous nous tenions coude a coude pour de pas frapper un ami plutôt qu'un fer-né, car notre vision était brouillée par le sang, je scandais le plus possible notre devise pour encourager les hommes Tien Bon TIen BOn ; TIEN BON, Ti.... quand je me rendis compte qu'il ne restait plus que Jorah, moi, les fer-nés et la Mort. c'est là qu'enfin les renforts balayèrent comme une vague les quelque malheureux bougres de fer-né encore en vie. Je m'assis là sur une pierre rouge du fer et du sang, la satisfaction du devoir accompli quand Ser Jaime arriva dans son armure d'or et sa cape blanche, je lui dit "Le mur est a vous Ser, nous avons tenus bon", il me répondis "bon travail, tenez le pour moi je poursuit les autres". c'est seulement là que je découvris qu'une flèche m'avait traversé le corps.
Après la bataille  Jorah Mormont fut fait chevalier par le roi Robert et moi il me dit "vous êtes tous comme cela dans la baie au phoque ? Indémontable ? Ser Horn brise muraille "

Et ceux qui disent que ça c'est pas passé comme ça sont des sacrés menteurs.

2 commentaires:

  1. la réponse de ser Mark

    "Ser Horn, je vois que la modestie n'est absolument pas un défaut que vous avez su cultivé et appronfondir durant vos années passer dans les bras de ses charmantes bouteilles qui vous étaient si fidèle. Cela dit les contes et légende restent dans l'histoire et forge la volonté de notre descendance. Pour ma part j'accentuerais l'apologie de cette guerre sur la loyauté dont notre humble maison a fait preuve ou encore le courage de nos hommes qui ont défié les mers déchaînées pour défendre l'honneur de notre roi Robert. Et encore le sacrifice et le devouement pour l'amour de son dont Sir Grendel Fjordenson votre frère à fait preuve pour sauvé son fils de la mort. Il est parfois préférable de savoir resté humble Ser Horn pour mettre en avant les haut fait d'armes, de courage, d'honneur et de vaillance dont on fait preuve ceux qui sont mort pendant les batailles. "

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  2. Il y a eu deux coquilles sur :
    - la sitation du Roi Robert il fallait lire "vous êtes tous comme cela dans la baie au phoque ? Indémontable ? Ser Horn Écroule-Muraille "
    - Et rajouter après "c'est là qu'enfin les renforts", meuné par le plus fabuleux et fou furieux chevalier que j'ai jamais vu, car sont épée n'était pas de fer mais bien fait de feux et de morts, "ils balayèrent comme une vague ..."

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